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Roman

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  • La Ville-Jacqueline (1973)

Comment Nantes est-elle devenue une femme...

"Texte inclassable : bref roman, nouvelle, récit, poème, rêverie ?

Exploration du temps, fouilles inachevées pour une archéologie amoureuse."

Y. Florenne. Le Monde

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  • Le cortège des gisants (1973)

Au bord de la mer, à Penbé, un roman d'apprentissage et de découverte de la mer. 

"C'est un livre de sensations et d'odeurs... Le tout dans une langue précieuse et splendide,

au rythme ample comme le ressac sur les rochers. La découverte est à ne pas manquer."

Anne Bernet, Aspects de la France

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  • La partie de cartes  (1973)

Un épisode de 1793 peut-il encore agir en 1960 ? 

"Un émouvant roman sur les enjeux de la mémoire." Maxime Romain, La Marseillaise (Avril 1998)

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  • Ci-Devant (1997)    

Qui ne le devient à un moment ?  

Le premier des personnages de Ci-devant est sans aucun doute les paysages de la Bretagne : Golfe du Morbihan et Presqu'île guérandaise. Lors de ce retour au pays de son enfance et adolescence, avoir tout perdu, ne serait-ce pas la condition nécessaire pour mesurer le don reçu ?

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  • Les canards du Frostidié ou les migrations intérieures  (1998)

Pourquoi Louis Noblet, un ancien parqueur, abandonne-t-il sa belle maison de Penbé pour une chaumière au milieu des marais ?

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  • Sein ou le passage de la ligne (1999)

Sein en hiver quand les sénans ne sont qu'entre eux.

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  • Ouessant ou les âmes en peine (1999)

Le visage d'une île peut-il se confondre avec une femme jusqu'à composer un unique visage ?

"La pointe du Stiff, au terme d'une progression triangulaire, un lourd et puissant promontoire mais si ascensionnel que j'ai l'impression de décoller et sinon atteindre la barre des nuages, une terre aérienne. Vision de goéland du moins. Regard d'abord en arrière..."

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  • Belle-Ile ou le voyage de l'origine (1999)
    Débarque-t-on à Belle-île pour un jour ou deux ou toute la vie ?

"Retrouvailles avec une île que l'auteur a connu enfant. Souvenirs, rêves et descriptions parfois étonnants." Bretagne magazine N:6.

"Cette fois, à l'entrée du Goulphar, j'ai encore un temps de lucidité et disponibilité pour entendre que le démembrement de Domois, série de dômes et croupes à dos de monde en mer, de disques terrestres, atteint au plus haut et je le murmure..."

 

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  • L'île Dumet ou Quatrebras-le-Diable (2005)

Le centre des terres émergées du globe et de toute aventure. Notre île au trésor.

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  • Liturgie du secret (1997)

"De l'écriture comme liturgie." P.-L. Moudenc.
La Haute-Provence cultive la religion du secret et du silence. D'un chapitre à l'autre, se célèbrent des relations subtiles entre le présent et le passé. Telles sont les interrogations et étapes que les personnages de Liturgie doivent franchir afin de s'accomplir et de pénétrer par là-même au cœur même de la Provence. 

 

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  • Le langage de l'âme (1997)

Sous la rationalité actuelle, entendons-nous les langages antérieurs ?

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  • Alléluia ou le chant de la création. Suivi de : La malédiction des loups ou une histoire de famille (2010)

Une autobiographie intellectuelle à contre-courant du 20ème siècle.

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  • Amarines ou la fin du sortilège (1999)

Comment vaincre une malédiction familiale ?

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  • Pierlas ou la partition de l'éternité (1999)

Est-il possible de descendre à la fois dans le passé et d'avoir l'intuition du futur ?

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  • Bréhat ou le paradis retrouvé (2000)

De Saint-Benoît en Haute-Provence à Bréhat, la quête des îles. "Au-dessus de Bréhat redevenue une

île en pleine mer, du haut de la butte Saint-Michel à épée déployée, l'étang de Birlo, la ligne de

Béniguet et Crouzen, au-delà encore, le continent et la ligne de l'île Maudez, la ligne de l'horizon,

une éparpillement d'îles en pleine mer à succession et juxtaposition, presque deux à deux, d'îles à

bois de pins et d'îles qui ne sont que des rochers, juxtaposition du premier jour de la création et du

premier jour du monde, du surgissement et du paradisiaque, à toucher le roc brut..."

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  • Groix ou la croix du salut (2001)

De Groix à Nice, un itinéraire. "Bientôt le vent à nouveau libre et le donjon du phare, inscrit à la base dans un bâtiment en croix, puis, tout autour, la descente sur l'océan. La lande et la mer. La proue de Groix. Arrêt. Courses. ... Pas de mensonge. La vérité en face. L'homme, même si nous passons notre temps à le nier, est aussi infini que la création. L'homme est à la démesure de la mer. Silence. Une parole silencieuse. Au-delà de la nudité de la lande que je me remémore bien, le coup-de-poing libérateur du large. Le rire du large et de l'infini. L'homme est l'homme. Je recule. M'assois. Pointe de Pen Men."

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  • Le démon et la chaîne des anges (2002)

De Piriac à Entrevaux, le cap Horn de l'adolescence.

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  • D'un amour infini (2003) *

Si l'amour n'est pas unique, peut-on parler d'amour ?

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  • L'adoration mutuelle (2004)

Peut-on juger la passion amoureuse ?

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  • Les cheminements intérieurs (à paraître)

François revient de son temps de service en Algérie, une dérisoire mitraillette à la main, en colère. Il a compris que nous n’avons pas perdu que la chance d’une entente avec des peuples différents et derrière gâché le rêve de l’Empire mais que commençait le cycle de notre propre disparition.

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Œuvres maîtresses : l'ambition du Petit Poucet

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  • La Multiplication (1970-1995)

Somme romanesque de 3400 pages en 7 volumes. 


Un roman total. Une véritable aventure du Graal au vingtième siècle. Son ambition : rapporter tout le chemin d'une conscience, depuis le premier instant mémorisé jusqu'à environ la quarantième année, de façon, à partir de cette expérience, à en dégager une théorie qui épuise tout le savoir possible et répondre à la question qui se posait à huit ans : la vie a-t-elle un sens ? En somme, il s'agit, après de multiples romans d'apprentissage ou de découverte et l'histoire de toutes les personnes rencontrées, aux yeux du narrateur, toujours romanesques, d'un roman de la connaissance. La vie est-elle une multiplication ou une soustraction ? 
 

"La multiplication, l'œuvre majeure de Franc Mallet que nous avons déjà présentée, porte bien son nom. Il s'agit, en effet, d'un roman-fleuve, une somme conviendrait-il de dire, à côté duquel La critique de la raison pure ou Les prolégomènes à une métaphysique future font figure d'opuscules. Que ceux de nos lecteurs qui hésiteraient encore à se lancer dans cette entreprise de longue haleine se rassurent. A défaut, ils peuvent se rabattre sur un merveilleux petit livre du même auteur qui n'a certes pas la même ambition, mais dont on ne peut que savourer le bonheur d'écriture." Courrier du pays de Retz. 

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"La Multiplication de Franc Mallet, assurément la tentative la plus ambitieuse et la plus insolite qui se puisse concevoir.... Un travail d'alchimiste ou de bénédictin. Un pari insensé qui s'apparente au grand oeuvre rêvé par Mallarmé plus encore qu'à 'La recherche' proustienne." P.-L. Moudenc. 

"Si beaucoup ont rêvé du roman total au vingtième siècle, qui d'autre l'a entrepris et mené à son terme ?" Philippe Camby. 

"Etrange effort. Pari insensé. Epuiser ou circonscrire le sens et le non-sens. Dire entièrement le dire. Atteindre, méditation et roman mêlés, à une métaphysique définitive, quitte à l'abandonner aussitôt au profit du vivre. Une folie littéraire sans aucun doute mais qui s'élève néanmoins à une musique, une mélopée endormeuse et louangeuse, orientale. Une musique de l'origine et de la fin. La musique de l'être." Lucile Ferrières. 

"Un ovni littéraire" W. Winieski. 

"Un livre qu'on ne finit jamais..." Pierre Sylvestre.

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  • La presqu'île du cœur ou la terre promise (2018)

1200 pages en deux volumes.

A partir du point fixe du lieu de la naissance, de l’enfance à la vieillesse, tous les paysages, tous les personnages, toutes les images, tous les livres, toutes les œuvres d’art et toutes les interrogations d’une vie. Mais rien d’intime. Quel intérêt ? Uniquement une plaque sensible. Entre raison et déraison, tendresse et humeur, humour et réflexion, ce qui reste au fond de toute expérience, les heurs et malheurs inévitables, mais jamais de quoi annuler la joie de vivre. En ce sens, même si le narrateur n’est qu’un homme ordinaire, ne serait-ce pas une quête du sens ? La quête du Graal de toute vie et, dans les faits, une biographie intellectuelle de son temps de passage. Un message jeté dans l’infini.

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« La preuve par la phrase courte au lieu de la période de La multiplication. La vie est un miracle. » Lucile Ferrières, Quadrature de l’invisible

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